Hier, en session plénière à Strasbourg, j’ai rappelé une évidence : depuis le Brexit, nos pêcheurs vivent dans l’incertitude permanente. Réduction des quotas, restrictions d’accès, contournements de l’esprit comme de la lettre de l’accord commercial de 2020…
Cela fragilise la confiance, et l’avenir même de nos ressources marines partagées.
L’Europe doit rester ferme :
• Un marché unique ouvert implique le respect des engagements, notamment sur l’accès aux zones de pêche.
• La stabilité des communautés littorales françaises, irlandaises, néerlandaises et d’ailleurs dépend d’un cadre clair.
• La protection des écosystèmes marins exige une coopération loyale, pas des décisions unilatérales.
Si l’accord court jusqu’en 2038, alors respectons-le jusqu’au bout.
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