La semaine dernière, en commission Pêche du Parlement européen, j’ai interpellé l’Agence européenne sur plusieurs enjeux déterminants pour l’avenir de notre secteur maritime et des communautés littorales.
🌍 𝗗’𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲.
Quand l’Afrique de l’Ouest se déstabilise, comme en Guinée-Bissau où j’ai été rapporteur de l’accord, ce sont des accords, des emplois et des ressources partagées qui vacillent.
👉 Nous devons rester présents, fiables et engagés sur cette façade Atlantique.
🇫🇷 𝗘𝗻𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲, 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗻𝗼𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗲𝘀 𝗲𝗮𝘂𝘅.
De la Guyane à la Méditerranée, les tensions liées à la pêche illégale augmentent.
Tunisie, Libye, Turquie : nous avons besoin d’une Europe plus visible, plus efficace et plus unie sur ses frontières maritimes.
💶 𝗘𝗻𝗳𝗶𝗻, 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻𝘀.
L’avenir du secteur dépend aussi de nos capacités communes :
👉 surveillance, coopération, appui aux États, innovation, présence en mer.
Tout cela coûte, mais c’est indispensable pour garantir aux pêcheurs un cadre stable, équitable et durable .
Car sans moyens, l’Europe recule, les eaux deviennent zones grises, et ce sont nos pêcheurs, nos territoires et nos filières qui en paient le prix.
Je continuerai à défendre une Europe :
✔️ présente sur ses mers,
✔️ partenaire fiable à l’international,
✔️ protectrice des ressources autant que des femmes et hommes qui vivent de la mer.
🎥 Mon intervention en commission pêche est à revoir ici
